Schweitzer Fachinformationen
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Le plus beau cadeau que nous puissions faire à notre enfant est de lui apprendre à comprendre ses émotions, à les gérer et à s'affirmer. Il en est de même pour toi et moi. Dans mon 1er livre, La vie en rose, c'est ce que j'ai voulu transmettre à ma fille et à mes lecteurs, au travers de clés de vie universelles.
Savoir s'entourer - Croire en soi - Trouver la juste estime de soi - Vivre dans le présent
Sachant à quel point les émotions négatives peuvent nous affecter et nuire à notre « bien vivre », apprendre à s'aimer et choisir qui aimer sont deux des trois choix majeurs qui impactent la qualité de notre vie, d'où l'écriture de mon premier manuel. Le troisième, que la plupart d'entre nous devons faire, est celui de choisir comment gagner sa vie. Au vu du nombre d'heures et d'années dédiées à notre vie professionnelle et du coût de la vie, il semble utile d'en parler et surtout de se poser quelques questions sur ce sujet en amont. Cette décision que nous prenons, exerce une grande influence sur notre bien-être au quotidien. Pourtant, nombreux sont ceux qui la prennent trop rapidement ou, en tout cas, sans réelle réflexion au préalable. Voici donc un deuxième manuel pour te guider sur ce troisième choix crucial.
Nous devons travailler pour 'sur'vivre, c'est indéniable. Tout a un coût, à commencer par se loger, se nourrir et se vêtir. Notre vie personnelle et notre vie professionnelle s'entrelacent et composent notre quotidien. Leur équilibre est un objectif. C'est un souhait partagé par quasi toutes les générations, n'en déplaise à ceux qui aiment nous mettre dans des cases X, Y, Z, etc. Notre environnement professionnel impacte notre vie personnelle et vice versa. La façon dont nous nous entourons influence ce que nous devenons. Nos émotions (en anglais 'e motions' = énergies en mouvement) sont contagieuses.
Tu deviens ton environnement, d'où l'importance de ton choix de métier. Alors, comment le faire ? Est-ce dû à la chance, au hasard de rencontres, à une vocation ou encore au fait de suivre le 'flow' (= mouvement) ? Je te propose quelques pages pour plonger ensemble dans ce sujet. Toujours pour ma fille à la base, s'il peut également t'être utile, tant mieux !
Le fait est que peu d'entre nous exercent aujourd'hui un métier en lien avec notre premier choix d'études. Selon certains sondages, seulement ¼ des personnes ont cette 'chance'. De même, avoir une vocation depuis tout petit (H/F) et faire de ce rêve une réalité n'est pas courant. Au départ, le cursus scolaire est un socle commun, une base obligatoire pour tous jusqu'à 16 ans pour fonctionner en société. Ensuite, différentes options s'offrent à nous. Je te conseille de ne surtout pas t'arrêter là si tu veux avoir le choix ensuite. Que ce soit via une voie générale ou technologique, pousse au moins jusqu'au bac ou au CAP (= certificat d'aptitude professionnelle). Le bac général te permet de recevoir des connaissances sur quasiment tous les domaines et nécessite quelques années d'études supplémentaires pour t'être utile. Quant au bac pro ou au CAP, il te prépare à un métier bien précis. Le CAP est un diplôme de niveau 3 tandis que le bac pro est un diplôme de niveau 4. A ce titre, les titulaires d'un bac pro justifient d'un niveau supérieur à ceux ayant un CAP car les enseignements y sont plus approfondis. Suis ton enthousiasme. Tu as peut-être une matière préférée. Sinon, quelle est celle qui t'intéresse le plus ? Il y a bien un cours ou un professeur (H/F) qui te motive à l'écouter. Personnellement, ne sachant pas quoi faire après mon bac littéraire option mathématiques, c'est ce qui m'a guidé. J'aimais l'anglais, alors j'ai cherché des études courtes après le bac qui avaient cette matière au centre du cursus proposé. J'ai opté pour un BTS (= brevet de technicien supérieur) car c'est un diplôme dont la reconnaissance sur le marché du travail permet de décrocher un job plus facilement que deux années dans une faculté lambda.
Un bac pro ou un CAP te permet aussi de poursuivre en BTS. Ne sachant pas si j'allais avoir envie de continuer mes études à 20 ans, j'ai fait ce choix pragmatique à l'époque.
Si tu es un étudiant (H/F) sans réelle vocation ou intérêt pour une matière en particulier, lance-toi et reste curieux. Inclus également dans ta réflexion tes activités extrascolaires. Il est important d'en avoir une ou deux.
Si tu es en recherche d'emploi ou en transition professionnelle, idem, explore. Cherche dans ton passé ce qui t'a procuré le plus de satisfaction professionnelle ou encore le fil conducteur entre toutes les activités qui t'ont le plus plu.
Laisse-toi guider par ce qui t'anime, ce qui te donne envie de te bouger, et si rien ne te stimule, pourquoi pas tester. Les stages de découverte proposés au collège sont une excellente façon de découvrir des métiers. Les jobs d'été, les missions intérim ou les CDD (= contrats à durée déterminée) également. Avec les différentes applications existantes sur le sujet de l'emploi, il ne tient qu'à toi d'ouvrir ton horizon professionnel. C'est en faisant des choses nouvelles qu'on génère des étincelles dans nos yeux et notre cour, surtout s'ils sont éteints.
À noter que si tu te rends compte que tu t'es trompé/e (choix de lycée/d'études après le lycée ou 1ers jobs), il est préférable d'aller au bout, sous-entendu, de terminer au moins la première année ou d'aller au terme de la mission ou du contrat. Tout engagement nécessite un investissement et tout investissement donne un résultat. Cela te sera utile d'une façon ou d'une autre. Mon BTS en commerce international m'a permis de sortir de la théorie après des études plutôt abstraites et j'ai adoré l'aspect international, même si la partie commerciale ne m'a pas beaucoup intéressée. Je m'y étais engagée, alors j'ai fait les deux années. L'avoir obtenu reste une grande satisfaction personnelle. Cela m'a aussi permis d'enchaîner avec une licence en langues étrangères appliquées. Je l'ai intégrée directement en 2e année grâce à ce premier diplôme après mon bac.
En France, ce document reste une condition pour avancer sur ton chemin académique et débuter professionnellement. Avoir un diplôme équivalent à un bac+3 est intéressant, car ce niveau t'ouvre la porte à de nombreux concours. Personnellement, j'ai arrêté là dans un premier temps et j'ai découvert mon métier en le pratiquant. J'ai toutefois repris mes études à 28 ans pour obtenir un master 2 (= bac+5) en ressources humaines après une VAE (= validation des acquis et de l'expérience pour le bac+4). Sans cela, je n'aurais pas pu travailler dans l'entreprise qui m'intéressait et à un poste correspondant à mes attentes à ce moment-là de mon parcours. Retiens que sans expérience, le diplôme est souvent un prérequis en France. L'audace ne suffit pas toujours. Retiens également que s'investir dans ses choix ensuite est une belle qualité. Cela témoigne de ta persévérance et de ta constance. Cerise sur le gâteau, si tu fais ce que tu aimes (ou que, grâce à ce métier, tu peux faire ce que tu aimes), tu y trouveras du sens et donc une raison de te lever le lundi matin. Chaque opportunité est également une occasion d'élargir ton réseau. Je l'ai déjà souligné dans mon 1er livre.
« Seul, nous avançons plus vite, mais à plusieurs, nous allons plus loin. » Proverbe africain
Ces rencontres seront potentiellement déterminantes. L'objectif, cependant, est de te rendre visible. Faire partie d'un réseau social, oui, mais activement, c'est-à-dire en partageant tes idées via des publications, des commentaires ou encore des articles. Je pense particulièrement aux personnes en recherche active d'emploi. Les réseaux tels que LinkedIn (LI) sont un formidable outil de connexion pour se faire connaître au-delà de son réseau de proximité. J'ai récemment vu le film Charles Aznavour, qui est un bel exemple quant à l'importance de la visibilité. Pour...
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