"Les Récits d'Adrien Zograff" rassemblent plusieurs nouvelles qui suivent les aventures et les péripéties d'Adrien Zograff, un personnage souvent associé à l'auteur lui-même. Les récits sont souvent basés sur les voyages et les expériences de Zograff dans différents pays, notamment en Europe de l'Est et au Moyen-Orient.
Les histoires captivent souvent par leur exploration de diverses cultures, des réalités sociales auxquelles Zograff est confronté, ainsi que par ses interactions avec une grande variété de personnages colorés rencontrés au fil de ses voyages. Chaque récit offre une nouvelle perspective sur la vie, la société et les relations humaines à travers les yeux d'Adrien Zograff.
Panaït Istrati, connu pour son style d'écriture vivant et ses descriptions détaillées, offre à travers ces récits une vision poignante et parfois satirique du monde dans lequel évolue son personnage central. Ces histoires ont souvent été saluées pour leur richesse narrative et leur capacité à captiver les lecteurs à travers les aventures variées de Zograff.
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Produkt-Hinweis
Broschur/Paperback
Klebebindung
Maße
Höhe: 220 mm
Breite: 170 mm
Dicke: 8 mm
Gewicht
ISBN-13
979-10-419-7636-2 (9791041976362)
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Schweitzer Klassifikation
Panaït Istrati naît à Br¿ila, un port roumain sur le Danube, fils de la blanchisseuse Joi¿a Istrate et d'un contrebandier grec, Gherasim Valsamis. Son père est tué par les garde-côtes alors que Panaït est encore bébé.
Élevé à Baldovine¿ti, village proche de Br¿ila, il étudie à l'école primaire durant six ans, en redoublant la première année. Il gagne ensuite sa vie comme apprenti chez un cabaretier, où il apprend le grec, puis chez un pâtissier albanais. Il devient ensuite marchand ambulant, man?uvre, soutier à bord des paquebots du Service maritime roumain. Pendant cette période, il est un lecteur compulsif, et ses voyages le mènent à Bucarest, à Constantinople, au Caire, à Naples, à Paris et en Suisse. Il parle roumain, turc et grec avant tout contact avec le français.
En 1916, Istrati contracte la phtisie. Il séjourne dans un sanatorium suisse à Leysin et fait la connaissance de Josué Jéhouda, qui lui apprend le français et lui fait découvrir les romans de Romain Rolland. Istrati en est plus qu'impressionné et fait du romancier son maître à penser. Une fois rétabli, il poursuit ses errances autour de la Méditerranée et commence à écrire en français. Il envoie son manuscrit à Romain Rolland qui, ayant déménagé, ne le reçoit pas. Istrati erre alors dans l'Europe à feu et à sang de la Première Guerre mondiale.
