"Le Culte du Moi, 3. Le jardin de Bérénice" est le troisième volume de la série autobiographique écrite par Maurice Barrès. Publié en 1891, ce livre poursuit l'exploration par Barrès de son ego et de sa vision du monde, tout en approfondissant ses réflexions sur l'identité personnelle et nationale.
Dans ce troisième volume, Barrès continue à développer ses idées sur l'individu et la société, ainsi que sur le rôle de l'art et de la culture dans la construction de l'identité nationale. Le titre "Le jardin de Bérénice" fait référence à un lieu symbolique où Barrès explore les thèmes de la beauté, de l'inspiration et de la créativité.
Barrès utilise ce troisième volume pour approfondir ses réflexions sur la France et sur ce qu'il perçoit comme les valeurs fondamentales de la nation. Il célèbre l'héritage culturel et spirituel de la France, tout en exprimant ses préoccupations concernant les menaces perçues contre la nation et la civilisation européenne.
Comme les volumes précédents, "Le Culte du Moi, 3. Le jardin de Bérénice" est écrit dans le style lyrique et introspectif caractéristique de Barrès. L'¿uvre continue à explorer les thèmes de l'identité, de la liberté et de la responsabilité individuelle, offrant une réflexion profonde sur la nature humaine et sur la société.
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Produkt-Hinweis
Broschur/Paperback
Klebebindung
Maße
Höhe: 210 mm
Breite: 148 mm
Dicke: 14 mm
Gewicht
ISBN-13
979-10-419-9813-5 (9791041998135)
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Schweitzer Klassifikation
La famille paternelle de Maurice Barrès est originaire d'Auvergne (sud-ouest de Saint-Flour). À la fin du xvie siècle, une des branches de la famille s'installa plus au nord, à Blesle, dont Jean-Francis Barrès (arrière-grand-père de Maurice Barrès) fut maire et conseiller général. L'un de ses fils, Jean-Baptiste Auguste, après s'être engagé dans les vélites de la Garde impériale, prit sa retraite en 1835, à Charmes, dans le département des Vosges, où il s'était marié. De ce mariage avec une Lorraine, il eut un fils, Auguste (père de Maurice) qui lui-même épousa Mlle Luxer, dont le père fut maire de Charmes en 1870. Auguste Barrès, ancien élève de l'École centrale, fut un moment professeur, puis précepteur, avant d'arrêter tout travail.